P { margin-bottom: 0.21cm; }H3 { margin-bottom: 0.21cm; }H3.ctl { font-family: "Arial Unicode MS"; } Parmi les artistes tchèques qui s’installèrent en France après la Seconde Guerre mondiale, an Krizek compte, sans doute, parmi les plus importants et les plus originaux. Arrivé en 1947, il resta en France jusqu’à sa mort en 1985 et y créa l’essentiel d’une œuvre qui fut admirée et soutenue par Jean Dubuffet, André Breton, Charles Estienne, Michel Tapié, Pierre Henri Roché... Jan Krizek était avant tout un sculpteur mais, confronté à une situation difficile, il ne put pratiquer ce type d’expression qu’occasionnellement et a surtout laissé de nombreux dessins, aquarelles et gravures qui lui servaient de « terrain d’expérimentation » et de recherche.

À l’occasion de la sortie du livre en version française, Jan Krizek : chez moi l’homme ne doit jamais disparaître, de Anna Pravdová, un choix d’œuvres issu du fonds d’atelier dont le FRAC Limousin a hérité en 2010 est présenté dans le hall de la Bfm.